Pour ce nouveau Ciné confiné, le confinement dans un motel aux portes de Disney World.
Je garde un souvenir émerveillé de cette petite Mooney, à la lisière de la petite bichette adorable et de l’effrontée rebelle qui passait alors ses journées à faire les 400 coups avec ses copains.
L’innocence est là, encore un peu aux entournures. Le rire est lui, bien présent, toujours, comme un cri de guerre qui aurait pour but de repousser les méchants et détruire le malheur.
C’est assez fataliste oui, mais d’une imagerie « bonbonnesque » à couper le souffle. D’une énergie surtout, extrapolée au final d’une belle once d’espoir marquée par l’enchantement du regard que les enfants portent sur le monde. Non, rien n’est jamais perdu.
Retrouvez ici l’intégralité de mon article publié au moment de la sortie du film en salles.