Pigalle : ses prolos, ses bobos, ses prostituées et ses touristes.
Pigalle est ici filmé comme un personnage à part entière, presque amoureusement.
Ce film, naturaliste, capte les lumières flamboyantes d’un quartier et d’une ville qui fourmillent. J’ai pensé à Scorsese et à la maestria qui est la sienne lorsqu’il est question de filmer New York.
« la chair d’une ville se hume en marchant »
Voilà qui devrait vous inviter au voyage !
https://soundcloud.com/seancelive/lactu-des-blogs-cine-avec-barbara-govaerts-les-derniers-parisiens