AMHA (A Mon Humble Avis), Festivals de Cinéma

Le comte de Monte-Cristo

Posted by Barbara GOVAERTS

Je suis allée voir Le Comte de Monte-Cristo après tout le monde.

Aucune envie de me ruer à sa sortie pour diverses raisons. C’était sans compter un vendredi pluvieux de fin d’été et les paroles insistantes d’une personne de mon entourage ayant vraiment aimé le film, qui m’encouragèrent alors à me lancer.

Cette fois, le moment était venu.

Si les noms d’Edmond Dantès et du Comte de Monte-Cristo m’évoquent bien évidemment un vague quelque chose, je dois avouer n’avoir jamais lu le roman de Dumas ni vu aucune des (nombreuses) adaptations existantes.

Malgré les retours tout autour et les chiffres faramineux du box office, j’allai voir ce film sans trop d’a priori, avec tout de même l’envie d’aimer. Mais de juger un peu !

La toute première scène me hérissa les poils dare-dare. Cette scène de tempête en haute mer tournée en studio m’a horripilée… Avec un Niney quasi marin surhomme… C’en était déjà trop.

Mais le film nous embarque ensuite vers le récit de cet amour, puis de cette trahison, pour aller ensuite vers la période de réclusion puis de renaissance…. Et le film m’a fait naviguer de l’un à l’autre avec une verve telle que n’ai pas vu passer les 3 heures de l’opus.

Je ne peux que dire à mon tour à quel point ce film, agrémenté d’une musique très travaillée et d’acteurs sérieux, est une oeuvre de cinéma populaire tout à fait remarquable et réjouissante.

Et cette question épineuse qui veut distinguer la vengeance de la justice. Où se situe alors la frontière ? Vaste question éthique s’il en est.

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