Il y a quelques semaines, à Cannes, je découvrais un thriller habilement mené. La nuit du 12met
Ce qui reste de la puissance de ce film, c’est sa faculté à dire, à montrer, à humaniser
Ce petit air de flute récurent qui, déjà, donne beaucoup à l’ambiance à la fois légère
Ah Cannes ! Son aura, ses emballements médiatiques ! Il en faut au moins un chaque année. Et ce
36 années ont passé et le mâle alpha que l’on croyait pourtant si ce n’est disparu,
Voilà qu’après une année off due au COVID (2020), puis une annulation de dernière minute
Ça m’arrive rarement mais c’est déjà l’affiche du film qui m’a attirée. Simple, aux
J’ai failli quitter la salle tant les trente premières minutes du film sont pénibles.
C’est là un film d’une grande délicatesse qui se trame devant nos yeux.
Je suis entrée dans ce film avec un enthousiasme certain, celui déjà de retourner au cinéma
Nous faut-il encore des preuve du rôle que joue le cinéma dans nos vies ? Je dirais que oui. On
« Il faut l’avoir quitté pour pouvoir apprécier cet endroit » C’est bien cette